Dernières Nouvelles du Monde et autres histoires de saison
Du Mali enclavé aux terres insulaires, ces Dernières nouvelles du monde nous entrainent dans un périple dans l'espace et dans le temps. Les lire, c’est entamer un étonnant voyage littéraire entre réalité et fiction qui ose l’effacement des genres, notamment entre prose et poésie, comme si la littérature était un moyen de faire sauter les clivages qui séparent les êtres humains.
Écartelée entre désillusions et espérances, Nathalie M'Dela Mounier dépeint un monde tout en contradiction, des hommes qui ne parviennent plus à communiquer entre eux, un monde en errance, en quête de valeurs et d'amour.
L'auteur nous fait partager ses expériences : si elle nous choque parfois, c'est pour mieux nous faire réagir.
Si elle dénonce le système, notre façon d'être et d'agir, elle nous invite aussi à réfléchir sur notre condition humaine et à penser à vivre autrement.
Éditeur : | Coédition Les oiseaux de papier / Taama | Langue : | français |
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Genre : | Littérature | Sortie : | 31 mars 2013 |
Sous-genre : | Nouvelles | Collection : | L'Inacceptable |
Biographie
Nathalie M'DELA-MOUNIER
Écrivain-voyageur, Nathalie M’Dela-Mounier est aussi enseignante documentaliste en Bretagne, où elle a une partie de ses racines. Métisse, elle aime explorer les contours flous de l’identité et ceux des mémoires individuelles ou collectives. En observatrice attentive d’un monde dont elle se veut aussi actrice, elle croit à l’importance de la transmission et du partage des cultures, aux mots qui content, chantent et agitent les consciences. Depuis 2007, elle travaille avec Aminata Traoré (ex-ministre de la Culture du Mali et essayiste) dans le cadre du Foram (Forum pour un autre Mali) et du Centre Amadou Hampaté Bâ, à Bamako, notamment autour de la question des migrations. Ensemble, elles sont les marraines du festival Paroles Indigo, à Arles, qui propose « d’autres manières de dire le monde ».